Les accidents de la voie publique sont assez fréquents dans la capitale de la France. L’on parle généralement des accidents à moto, en voiture, ou en scooter à Paris. Mais, l’on omet hélas un fait d’apparition récente dans la capitale. Il s’agit des accidents de trottinette électrique. Que faut-il savoir essentiellement à propos ? Cet article répond de long en large à cette problématique clé.
Sommaire
Trottinettes électriques & Accidents de la voie public à Paris
Dès leur apparition, les trottinettes électriques ont été un coup de cœur pour bon nombre de Parisiens. Ce qui les motiva à s’en procurer en masse. Surtout à cause de leurs qualités intrinsèques et de leur design unique au monde. Toutefois, certains utilisateurs de trottinette électrique en font un usage enfantin et immature, en l’occurrence les jeunes. Oubliant parfois que cet appareil urbain peut les amener au bloc opératoire pour une intervention chirurgicale.
1ʳᵉ catégorie de victime : les adultes
On peut noter chez les sujets de 40 ans ou plus, par exemple, une fracture de la rotule de la rotule gauche (fracture articulaire) et de l’autre côté une fracture du plateau tibial droit. Ce patient en aura forcément pour 4 à 5 mois d’hospitalisation avec un risque de séquelle important d’arthrose. C’est un traumatisme qu’on n’avait pas l’habitude de voir sur Paris.
2ᵉ catégorie de victime : les jeunes et les jeunes adultes
Il existe une 2ᵉ catégorie d’utilisateurs. Des patients de 30, 35 ans et en deçà qui vont se faire des fractures du membre thoracique (au niveau d’un doigt, un poignet, un coude ou même l’épaule parfois). Ou encore des lésions et solutions de continuité au niveau du membre pelvien post impact. Ces patients de jeunes âges vont généralement récupérer très facilement même s’ils subissent une opération chirurgicale.
Existe-t-il des lésions ou fractures spécifiques aux trottinettes ?
Non, il n’en existe pas. Car ce sont des fractures et lésions fréquentes dans la traumatologie des scooters, des vélos et des motos. Ça justifie un traumatisme quand même relativement violent, et ce traumatisme, cette énergie, est due au fait que brutalement la route qui est relativement petite va se prendre sur un trottoir, sur une petite butée, ou sur un trou dans les pavés de Paris. Entrainant une chute avec un arrêt brutal et donc une projection du conducteur vers l’avant de son appareil de transport urbain.
Vous risquez de chuter à 25 kilomètres par heure brutalement, c’est comme si vous étiez en voiture qui roule à la même allure et que vous ouvriez la portière pour volontairement descendre malgré tout. Le traumatisme induit par un accident de trottinette électrique à Paris est donc conséquent et très éprouvant. Pensez-y régulièrement en manœuvrant cet appareil mobile urbain.
Par ailleurs, vous pouvez être percuté violemment par un camion, une voiture, un scooter ou une moto. Tels les traumatismes à moto, l’impact est d’une très grande portée selon l’intensité du choc et peut être un peu plus mortel pour les amateurs de trottinettes électriques. Cela est dû à l’exposition totale du squelette axial en horizontal au moment de l’impact.
Qui sont les victimes collatérales des trottinettes à Paris ?
Il s’agit des piétons. Ils sont fréquemment percutés par les trottinettes électriques dans les passages piétons des feux parisiens, et cela, même au niveau des trottoirs piéton parisiens. L’espace piéton a tout simplement perdu son caractère sacré depuis la mise en circulation de cet appareil à risque en milieu urbain parisien. Tout comme l’accident de moto à Fecamp, des drames peuvent survenir sans crier garde dans la capitale de France.
Les plus grands craintifs de nos jours à Paris, ce sont les personnes âgées et les handicapés. Ils vivent chaque jour dans la peur de se faire violenter ou percuter littéralement par une trottinette électronique. Cet impact peut leur laisser bien des séquelles à vie, notamment :
- une hypertension artérielle (en cas d’exposition fréquente voir abusive au Trafic urbain) ;
- un traumatisme psychologique (la peur de la route, de la circulation routière, des trottinettes ou d’un bruit quelconque de moteur) ;
- une fracture du col du fémur (responsable de 30 % des décès annuels dans leurs rangs) ;
- une fracture du poignet ou de l’épaule (qui peut occasionner douleur, impotence fonctionnelle et de longues séances de rééducations pénibles pour les victimes).
Comment éviter tous ces désagréments ?
Pour ce faire, veillez à :
- utiliser les pistes cyclables tout comme les vélos pour vous déplacer dans la capitale (Paris) ;
- porter un casque en milieu urbain (la capitale surtout) ;
- ne pas être à 2 sur une trottinette électrique dans la capitale ;
- rouler à allure modérée et respecter les codes de la circulation routière dans la capitale.
Bénéficie-t-on d’une assurance en cas d’accident de la voie publique ?
Il n’existe pas d’assurance en cas d’accident de circulation en trottinette. Si la faute vous revient, vous avez à votre totale charge la responsabilité des frais engagés. Il est recommandé, dans ce cas de figure, de se rapprocher de son assureur pour obtenir une assurance complémentaire couvrant l’utilisation de votre appareil.
